Aucune pièce d’identité ne rappelle J. Cole passant Nas, Big Sean et Rick Ross Beats

J. Cole a eu le privilège de travailler avec certains des plus grands producteurs de Hip Hop tout au long de sa carrière, mais en ce qui concerne No ID, le patron de Dreamville a laissé passer sa juste part de rythmes chauds.

Lors d’une récente apparition sur Spotify Podcast RapCaviarle beatsmith lauréat d’un Grammy a parlé de l’habitude de Cole de transmettre ses instrumentaux, révélant que c’était même devenu une « blague courante » entre eux deux.

« J’avais l’habitude de faire une blague courante avec J. Cole comme, ‘Yo, je dois faire une session avec toi pour que je puisse faire un rythme que tu n’utiliseras pas, que je peux descendre' », a-t-il dit à l’hôte. Brandon « Jinx » Jenkins en riant.

No ID a ensuite rappelé que J. Cole avait baissé les rythmes de « Control » et « My Last » de Big Sean, « Stay » de Nas et « Tears of Joy » de Rick Ross pendant une période de deux semaines en studio.

« C’était comme une semaine ou deux que nous travaillions au début », a-t-il poursuivi. « Pour lui, j’ai fait le beat ‘Control’, Nas ‘Stay’, ‘Tears of Joy’, ‘My Last’ et autre chose. Et c’était juste comme, ‘Non, ce n’est pas ça.’

« My Last », le premier single du premier album de Big Sean en 2011 Enfin célèbrea dominé le palmarès des chansons Hot Rap de Billboard tout en culminant à la 30e place du Hot 100. « Stay » et « Tears of Joy » étaient les vedettes de Nas La vie est belle et Rick Ross’ Don de téflonrespectivement.

« Control » de Big Sean, quant à lui, a laissé un impact de la taille d’un cratère sur le hip-hop lors de sa sortie en 2013 grâce au couplet explosif de Kendrick Lamar, dans lequel il a appelé plusieurs de ses pairs du rap – de Drake et Pusha T à A$AP Rocky et, ironiquement, J. Cole – tout en se couronnant le «roi de New York».

Bien qu’il ait transmis un certain nombre de ses beats, J. Cole a fini par travailler avec No ID sur « Never Told » de son premier album de 2011. Cole World : l’histoire secondaire. La version de Cole de « Stay », enregistrée à l’origine en 2009, a ensuite fait surface sur son EP de 2013 Sincèrement.

Le manque de collaborations de Cole n’a certainement pas nui au CV de No ID, qui est jonché de crédits pour JAY-Z, Kanye West, Drake, Rihanna, Pusha T et plus encore.

Le producteur / exécutif vétéran est peut-être mieux connu pour son travail avec son compatriote natif de Chicago, Common, ayant produit la majeure partie de 1994 Résurrection – y compris le hit « I Used to Love HER » – 1997 Un jour tout aura un sens2011 Le Rêveur/Le Croyant et 2014 Personne ne sourit.

J. Cole, quant à lui, est un producteur accompli à part entière ayant marqué une grande partie de son catalogue solo, ainsi que pour d’autres artistes comme Kendrick Lamar (« HiiiPoWeR »), Wale (« Bad Girls Club ») et Mac Miller (« Des sentiments blessés »).