Snoop Dogg a rencontré Conor McGregor lors de son escale en Irlande et a même pris le temps de visiter le pub de la star de l’UFC un jour avant son show.
Dimanche 24 septembre, le natif de Long Beach s’est arrêté au Black Forge Inn à Dublin, où il a rencontré le combattant de MMA et sa mère. Tha Doggfather en a profité pour rencontrer des fans, manger un morceau et même poser avec la ceinture de championnat de McGregor.
CHARGEMENT DE L’ANNONCE…
« Snoop avec ma mère, heureux comme l’enfer », l’athlète de 35 ans a légendé une série de photos documentant l’apparence du rappeur. « Bienvenue sur @theblackforgeinn, Snoop ! Bonne chance pour le spectacle à guichets fermés demain soir ! »
Découvrez les photographies de la rencontre de Snoop et Conor dans la capitale irlandaise :
Il y a quelques semaines, Snoop a involontairement ébranlé certaines plumes internationales après avoir fait référence par erreur à un territoire du Caucase du Sud comme appartenant à un pays ennemi.
Début septembre, la légende du rap de la côte ouest a annoncé qu’il se produirait en Arménie plus tard dans le mois, mais a également mentionné juste à côté la République d’Artsakh, qui ne fait pas partie du pays d’Asie occidentale susmentionné.
« Mon bien-aimé peuple arménien » Snoop a écrit sur Instagramm. « Je pense à vous et j’envoie de l’amour à tous les Arméniens d’Arménie, d’Artsakh et du monde entier.[l]d. J’apporte amour et paix et je souhaite à tous du courage. J’arrive le 23 septembre !!!! »
L’Artsakh est un État séparatiste situé à la frontière de l’Europe de l’Est et de l’Asie de l’Ouest, dont le territoire est internationalement reconnu comme faisant partie de l’Azerbaïdjan, qui est engagé dans un conflit de longue date et parfois sanglant avec l’Arménie pour le contrôle de la région.
À la fin des années 1980, le Conflit du Haut-Karabagh a fait environ trente mille victimes et des centaines de milliers de réfugiés, selon Suivi des conflits mondiaux.
Même après la déclaration d’un cessez-le-feu en 1994, les combats entre les troupes arméniennes et azerbaïdjanaises ont repris fin 2020, tandis que ces derniers mois, des blocus ont été installés, limitant les déplacements et les approvisionnements en Artsakh.