Diddy met sa maison de Los Angeles en vente après une descente de la Sécurité intérieure

Le séjour de Diddy en Californie touche à sa fin puisqu'il a mis en vente son immense manoir dans l'État, quelques mois seulement après qu'il ait été perquisitionné dans le cadre d'une enquête sur le trafic sexuel.

L'homme de 54 ans a acheté une maison dans le quartier de Holmby Hills à Los Angeles en 2014 pour 40 millions de dollars. Mercredi (3 juillet), TMZ il a été rapporté que la propriété est à nouveau à vendre, l'homme d'affaires demandant 70 millions de dollars pour celle-ci.

Les problèmes persistants de Puff avec la justice se sont aggravés lorsque ses propriétés à travers les États-Unis ont été minutieusement inspectées par des agents fédéraux en mars.

À l’époque, un représentant de Homeland Security Investigations avait déclaré à la presse : « Plus tôt dans la journée, Homeland Security Investigations (HSI) New York a mené des actions de maintien de l’ordre dans le cadre d’une enquête en cours, avec l’aide de HSI Los Angeles, HSI Miami et de nos partenaires locaux chargés de l’application de la loi. Nous fournirons de plus amples informations dès qu’elles seront disponibles. »

L'affaire serait traitée par le district sud de New York en relation avec les multiples allégations d'agression sexuelle et d'inconduite portées contre le patron de Bad Boy depuis 2023.

Le lendemain, l'avocat de Diddy, Aaron Dyer, a publié une déclaration sur l'épreuve.

« Hier, il y a eu un usage excessif de la force militaire lors de l'exécution des mandats de perquisition aux résidences de M. Combs », peut-on lire dans le communiqué. « Rien ne saurait excuser la démonstration excessive de force et d'hostilité dont ont fait preuve les autorités, ni la manière dont ses enfants et ses employés ont été traités. M. Combs n'a jamais été arrêté, mais il a parlé aux autorités et a coopéré avec elles. »

« Malgré les spéculations des médias, ni M. Combs ni aucun membre de sa famille n’ont été arrêtés et leur capacité à voyager n’a été restreinte d’aucune façon. Cette embuscade sans précédent – ​​associée à une présence médiatique avancée et coordonnée – conduit à un jugement hâtif et prématuré de M. Combs et n’est rien d’autre qu’une chasse aux sorcières basée sur des accusations sans fondement formulées dans des poursuites civiles. »

La note concluait : « Aucune responsabilité pénale ou civile n’a été établie pour ces allégations. M. Combs est innocent et continuera de se battre chaque jour pour laver son honneur. »