Meek Mill a été gracié par le gouverneur de Pennsylvanie

Philadelphie, PA –

Meek Mill a été gracié par le gouverneur de Pennsylvanie.

Le rappeur de Philadelphie s’est rendu sur Instagram jeudi 12 janvier pour partager un certificat signé par le gouverneur Tom Wolf, décrivant ses condamnations antérieures et la décision pour lui d’être relevé des conséquences juridiques qui en découlent.

« La Commission des grâces, après une audience complète, sur avis public et en séance publique, m’a recommandé, par écrit, avec la raison de celle-ci, la grâce dudit Robert R. Williams, dont la recommandation et les motifs ont été déposés dans le bureau du lieutenant-gouverneur », indique le certificat.

« Donné sous ma main et le grand sceau de l’État, à la ville de Harrisburg, ce 12e jour de janvier de l’année de notre Seigneur 2023. Par le gouverneur, Tom Wolf. »

Meek Mill a écrit dans la légende : « Merci à tous. Je suis seulement allé faire plus pour ma communauté sur Dieu ! #newlevelsunlocked.

Meek Mill était l’un des 369 récipiendaires d’une grâce du gouverneur Wolf cette semaine, portant son total à 2 540 depuis sa prestation de serment en 2015.

« J’ai pris ce processus très au sérieux – en examinant et en réfléchissant attentivement à chacun de ces 2 540 pardons et aux vies qu’ils auront un impact », il a dit dans un communiqué. « Chacun des Pennsylvaniens qui ont réussi le processus mérite vraiment leur deuxième chance, et ce fut un honneur pour moi de l’accorder. »

Il a poursuivi : « Un record empêche un mouvement positif vers l’avant dans la vie d’une personne et peut déclencher un cycle répétitif de défaite. Je crois fermement qu’avec des droits restaurés, les Pennsylvaniens graciés font leurs preuves en intensifiant et en redonnant à nos communautés.

En décembre, un juge qui a emprisonné Meek Mill pour une violation de probation en 2017 a été accusé de faute éthique.

Selon le Demandeur de PhiladelphieGenece Brinkley a été transférée au tribunal civil et dépouillée de toutes ses affaires pénales, qui ont été réaffectées avec des préoccupations croissantes de conduite contraire à l’éthique.

Des avocats et d’autres juges ont accusé Brinkley d’avoir « imposé des peines illégales, d’avoir laissé les peines dépasser leur date maximale ou d’avoir échoué [to] traiter les affaires qui lui sont renvoyées par les juridictions supérieures » après avoir examiné sa charge de travail.